Une femme dont le conjoint est fréquemment ivre a 15 fois plus de risque d’être victime de violences conjugales qu’une femme dont le conjoint ne l’est jamais.
40% des sujets ayant participé à une bagarre dans un lieu public ont consommé de l’alcool dans les deux heures qui précédaient, c’est également le cas pour 35% des auteurs d’agressions dans la famille et 25% hors du cercle familial.
Le CMG et la MILDECA rappellent le rôle essentiel du médecin généraliste dans le repérage des violences liées à l’alcool et aux drogues.
Liens utiles :
- Outil d’aide au repérage précoce et à l’intervention brève proposé par la HAS
- Recommandations de la HAS pour le repérage des femmes victimes de violences au sein du couple
- Démarches pour dépôt de plainte en cas de violences
- Ce que dit la loi en matière d’alcool
- “Breve”, numéro spécial, sur les nouveaux repères de consommation