1- Renforcer la surveillance liée aux maladies et aux traitements (ex : glycémies capillaires plus fréquentes chez un diabétique, surveillance de la tension artérielle quotidienne chez un patient vasculaire, ionogramme sanguin régulier en cas de prise d’antihypertenseurs, etc.)
2- Réévaluer la pertinence de chaque traitement et l’adapter si besoin en tenant compte de la balance-bénéfice risque pour le patient (pathologie traitée, risque de syndrome de sevrage et effets indésirables). Chez le sujet âgé, il faut être particulièrement vigilant à l’association de médicaments néphro-toxiques et à l’association d’un neuroleptique avec un médicament anticholinergique.)
3- Rappeler au patient de ne prendre aucun médicament sans l’avis d’un professionnel de santé. Pour rappel, le paracétamol ou l’aspirine sont inefficaces pour traiter le coup de chaleur et peuvent au contraire, avoir des effets délétères, notamment au niveau hépatique.